Conseil des écoles fransaskoises 4 mars 2015 Le Conseil des écoles fransaskoises pleure le décès soudain d’un de ses élèves St-Isidore-de-Bellevue, le 4 mars 2015 - Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) - en particulier la communauté scolaire de l'École St-Isidore à Bellevue - est en deuil suite au décès de l'un de ses étudiants plus tôt aujourd'hui, comme il a été rapporté dans les médias.
4 mars Postsecondaire L’Institut français devient le premier centre officiel de passation des TEF en Saskatchewan L’institut français est devenu le premier établissement en Saskatchewan reconnu par le Centre de langue française de...
L'interprète de M. Spock dans Star Trek, Leonard Nimoy, est décédé Leonard Nimoy, l'interprète de M. Spock dans la série télévisée et les films de "Star Trek", est...
Bhoutan - Au pays du Bonheur national brut Le Royaume du Bhoutan est une monarchie constitutionnelle où le bouddhisme est la religion d’État. De la taille de la Suisse, ce pays de 750...
Colloque de la Fédération des aînés fransaskois et de l'Association des... À Saskatoon : Ensemble pour assurer les droits, la sécurité et la dignité des aînés Une cinquantaine de personnes ont participé, les 20 et 21 février 2015 à Saskatoon, à une fin de semaine de travail...
Et autres femmes noires qui ont marqué la vie politique canadienne Mois de l'histoire des Noirs: Viola Davis Desmond, la Rosa Parks canadienne Tout le monde connaît la très honorable Michaëlle Jean, première femme noire à devenir Gouverneure générale du Canada en 2005. Mais d’autres...
1 février 2020 Lili Mercure (Acadie Nouvelle) 30245 Communication, Politique Médias sociaux : les politiciens face à la haine ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – Trou de cul, imbécile, french fuck, pomme pourrie et idiot, sont quelques exemples d’insultes reçues par les politiciens sur les réseaux sociaux. Si leurs décisions ne font pas toujours l’unanimité, nos élus méritent-ils une telle pluie d’injures? Certains croient que c’est le prix à payer. D’autres diront plutôt qu’il faut éviter de banaliser le phénomène des trolls. Les médias sociaux ont changé la relation entre les électeurs et les élus. Facebook et Twitter permettent aux politiciens de tâter le pouls des citoyens. Des outils incontournables afin de pouvoir prendre des décisions éclairées. Seul hic : les dérapages d’internautes s’invitent dans le quotidien des politiciens. «On se fait ramasser pas à peu près. On n’est pas épargné», souligne Isabelle Thériault, députée libérale provinciale de Caraquet. Mme Thériault avoue qu’elle doit parfois supprimer des messages haineux sur ses réseaux sociaux. La gestion de ceux-ci n’est pas de tout repos. «Ça prend énormément de temps à gérer. Je ne vais pas passer des heures là-dessus.» Même coup de sonde pour Megan Mitton, députée provinciale de la circonscription de Memramcook-Tantramar pour le Parti vert. «C’est important de surveiller ce qui se passe parce qu’il peut y avoir des trolls. Ma plus grosse préoccupation est que les fausses informations ne se propagent pas.» Les trolls sont des personnes qui publient des messages tendancieux sur les plateformes web dans le but de créer des polémiques. Il faut garder un œil sur ses pages, font remarquer les députés. Néanmoins, Mme Mitton évite de lire les commentaires haineux à son égard pour son bienêtre. Elle a d’ailleurs dû embaucher un gestionnaire des réseaux sociaux.. Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal Acadie Nouvelle Partager Imprimer