Immigration 26 février 2015 Mois de l'histoire des Noirs: Viola Davis Desmond, la Rosa Parks canadienne
26 février Musique Willows: franchise et chaleur humaine Geneviève Toupin se réinvente sous le nom de plume Willows. Au bout de l'écoute du troisième album de la...
Colloque organisé par la FAF et l'AJEFS à Saskatoon Une fin de semaine dédiée aux droits et à la sécurité des aînés SASKATOON - Le colloque “Ensemble pour assurer les droits, la sécurité et la dignité des aînés”...
Une fin de semaine au festival d’hiver de Prince Albert PRINCE ALBERT - Sous le regard bienveillant de monsieur et madame hiver, le 51e festival d'hiver de Prince Albert a battu son plein du 12 au 22...
Projet de loi C-51 : une loi des mesures de guerre permanente? Le projet de loi antiterroriste C-51 fait beaucoup jaser chez ceux qui ont à cœur nos libertés civiles. C’est une loi...
Saskatoon fête « le Mois de la famille en mouvement » Février est peut-être le mois le plus court de l’année, il n’en est pas moins rempli d’activités! En...
18 juin 2019 FAJEF 19893 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer