25 février Aînés Le défi de vieillir en français On retourne à sa langue maternelle en vieillissant Fraude, abus à l’endroit des aînés, lacunes au niveau des soins de santé. Vieillir en français est tout un...
Le départ d’Yvon Godin laissera un grand vide Un grand défenseur de la francophonie sur la scène fédérale prend sa retraite Yvon Godin a le goût de changer d’air. Après 18 ans sur la colline parlementaire, où il s’est...
Oscars: Birdman triomphe; L'hôtel Grand Budapest et Whiplash ne sont pas en reste Même nombre de nominations, même nombre de trophées: "Birdman" et "L'hôtel Grand Budapest", les grands favoris de la 87e...
Sandra Le Couteur à Saskatoon Dans le cadre d'une tournée Chemin Chez Nous, la chanteuse acadienne Sandra Le Couteur était de passage à...
Deux nouveaux titres sur l’étagère Trottinette Les Éditions Bouton d’or d’Acadie viennent de lancer deux nouveaux titres dans leur collection « Étagère...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8512 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer