3 février En quelques mots Leçon apprise? De Auschwitz au Mois des Noirs L’humanité contient un grand paradoxe : elle est capable du meilleur comme du pire. Ces jours-ci, on commémore le 70e...
La FFS signe un contrat avec un traiteur Retour des 5 à 7 hebdomadaires au Relais! Dans notre édition du 4 décembre 2014, nous vous annoncions que les 5 à 7 de la Fédération des francophones de...
Activités littéraires et artistiques à la First Nations University Le milieu artistique et communautaire chez les Premières Nations semble en pleine effervescence, si l’on en croit le dynamisme...
La cause de la Commission scolaire francophone du Yukon entendue à la Cour suprême du Canada La Cour suprême du Canada a pris en délibéré, le 21 janvier 2015, la cause qui oppose depuis plusieurs années la...
Rencontre avec un parent inquiet, mais optimiste Après 20 ans de gestion scolaire fransaskoise: Comment se porte le français dans nos écoles? La Saskatchewan a bien changé depuis l’obtention de la gestion scolaire il y a 20 ans. Depuis deux décennies,...
17 décembre 2014 Jean-Pierre Picard (EV) 37307 2014, AJF - Association jeunesse fransaskoise, Société, Jeunesse Le Parlement jeunesse fransaskois de l’AJF: Une expérience qui laisse sa marque Lundi matin. Dans quelques minutes le local de l’Association jeunesse fransaskoise (AJF) grouillera d’élèves de l’École canadienne-française de Saskatoon qui profitent de l’heure du dîner pour venir faire un tour. Le fait d’être logé dans la partie « communautaire » de l’école offre à l’AJF une occasion de proximité avec une partie de sa clientèle. À travers tout ce va et vient, son personnel s’affaire à clore le dossier du 19e Parlement jeunesse fransaskois (PJF) qui a regroupé une soixantaine de jeunes au parlement provincial à Regina la semaine dernière. Parmi ceux-ci on retrouvait 42 élèves d’écoles fransaskoises et 19 provenant du programme d’immersion. Au delà d’un exercice d’initiation au système parlementaire, le directeur général de l’AJF, Julien Gaudet, voit dans le PJF une occasion de développer un véritable esprit d’équipe. Ce sont les participants, sélectionnés selon une lettre de motivation de 250 mots, qui élaborent le contenu du PJF. « L’apprentissage du processus est encore plus important que les débats eux-mêmes » affirme monsieur Gaudet. Il a lui-même participé à plusieurs éditions du PJF et garde un excellent souvenir de l’expérience. Les organisateurs tentent d’avoir un mélange d’enjeux controversés et de sujets plus légers. Cette année, les projets de loi allaient de la peine de mort à la pose des pneus d’hiver obligatoire. Une année précédente, la question de l’avortement avait soulevé des passions alors qu’un projet de loi sur l’obligation pour chaque foyer d’avoir au moins deux poules avait donné lieu à des échanges plutôt loufoques. La motivation pour participer au PJF varie d’un jeune à l’autre. Certains ont un véritable intérêt pour l’aspect politique alors que d’autres apprécient surtout le côté social de l’activité. Mais quelle que soit la raison d’y participer, le PJF laisse sa marque. Roxanne Denis, enseignante à Vonda, a participé à 5 PJF alors qu’elle était étudiante. Cette année, elle donnait un atelier aux participants. Fait intéressant à noter, dans la foulée du resserrement des mesures de sécurité, le parlement de la Saskatchewan est le seul au pays qui ouvre encore ses portes à ce genre d’activité. Monsieur Gaudet a souligné l’importante collaboration de Dan D’autremont, le président de l’Assemblée législative, pour la tenue de l’événement. Balises PJF Partager Imprimer