Écoles fransaskoises 29 janvier 2015 Après 20 ans de gestion scolaire fransaskoise: Comment se porte le français dans nos écoles?
29 janvier Juridique La Commission scolaire francophone du Yukon devant la Cour suprême Le Québec refuse d'appuyer les francophones minoritaires J’ai appris avec stupéfaction la position du gouvernement du Québec devant la Cour suprême en ce qui concerne la gestion...
Retour du théâtre communautaire à la Troupe du jour C'est le 5 février 2015 que le théâtre communautaire revient à la Troupe du jour, où on l'avait vu pour la...
Le président cubain Raul Castro a formulé certaines demandes aux États Unis Le président cubain Raul Castro a formulé certaines demandes aux États-Unis, mercredi, visant à amorcer le...
La FCFA demande aux partis fédéraux de prendre des engagements sur l’avenir de CBC/Radio-Canada Alors que les travaux reprennent au Parlement, la Fédération des communautés francophones et acadienne (FCFA) du Canada...
Théâtre Oskana : le théâtre communautaire se porte bien à Regina Mercredi soir dernier (21 janvier), j'ai assisté à la générale de Douze jurés en...
18 juin 2019 FAJEF 19874 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer