15 janvier Francophonie Francophonie des Amériques :que faire avec nos cousins du Sud ? Il y a 250 ans, on parlait français en Amérique, de Terre-Neuve à la Louisiane en passant par les grandes plaines. Puis sont...
Un petit chef-d’œuvre mémorable et précis Le premier album d’Indigo Joseph offre trois chansons en français En journalisme musical, il ne suffit pas de reconnaître l'audace, il faut aussi savoir en parler. C'est pourquoi il est nécessaire de...
Pourquoi je ne suis pas Charlie Je suis choquée. Je suis triste. Je suis pour la liberté d’expression. Mais je ne suis pourtant pas Charlie.
Selon le Commissaire aux Langues officielles les célébrations de 2017... La dualité linguistique : l’immigration change la donne OTTAWA - La dualité linguistique est toujours vivante au Canada mais selon le Commissaire aux Langues officielles, Graham Fraser,...
Deux enseignants québécois mieux outillés par un séjour en Saskatchewan Bilan d'un stage de de l'ACELF de six semaines par deux étudiants de l'Université de Sherbrooke à l'école fransaskoise...
18 juin 2019 FAJEF 19874 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer