17 décembre Femmes Noël sans abus, ni violence à Moose Jaw Noël, cette belle fête où tous célèbrent en famille. Noël, ce temps de réjouissance où...
Nouveau souffle pour le Rock mobile de l’AJF Grâce à une subvention de 6 610$ du Fonds d’infrastructure du gouvernement saskatchewannais, l’Association jeunesse...
Le Parlement jeunesse fransaskois de l’AJF: Une expérience qui laisse sa marque Au delà d’un exercice d’initiation au système parlementaire, le directeur général de l’AJF, Julien...
Le 19e Parlement jeunesse fransaskois: Oui aux études universitaires gratuites, non aux pneus d’hiver obligatoires La 19e édition du Parlement jeunesse fransaksois (PJF) organisé par l’Association Jeunesse Fransaskoise s’est conclue...
Un projet de recherche d’envergure pour la santé physique et mentale des militaires et vétérans L’Institut canadien de recherche sur la santé des militaires et des vétérans coordonne depuis 2010 les études...
18 juin 2019 FAJEF 19866 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer