4 décembre Saskatoon Restaurants chics vs camions-restaurants : Saskatoon, mosaïque gastronomique! Les grands restaurants ne sont plus l’exclusivité des grandes villes. Saskatoon commence à se faire un nom sur la carte de la...
À la rencontre des députés de Prince Albert à l’Assemblée communautaire fransaskoise Rencontre avec les deux députées de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) pour la région de Prince...
Les membres du C.A. de Radio-Canada/CBC: Tous liés au Parti conservateur du Canada Les décideurs de Radio-Canada/CBC ont-ils réellement des affinités très serrées avec le parti au...
Camp Jeunes leaders fransaskois à Gravelbourg Des jeunes motivés et impliqués! GRAVELBOURG - C’est 19 élèves du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) qui se sont rencontrés à...
5 à 7 de Saskatoon: À la recherche de la formule gagnante La Fédération des Francophones de Saskatoon a récemment dû prendre une douloureuse décision afin de mieux...
18 juin 2019 FAJEF 19861 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer