Écoles fransaskoises 27 novembre 2014 Rencontre sur l’avenir de l’école fransaskoise de Lloydminster : Des discussions presqu’uniquement en anglais
27 novembre Éducation Conseils scolaires francophones: La démocratie scolaire en crise? La participation électorale a chuté et des conseils scolaires en milieu minoritaire gouvernent sans l’intérêt du...
Un goût de développement local PRINCE-ALBERT - Les 21 et 22 novembre 2014, à l’hôtel Travelodge de Prince Albert, ont eu lieu des présentations...
Entretien avec la Directrice de la Fédération des aînés fransaskois « La situation des aînés, c’est un scandale de notre société! » À l’occasion du 5 à 7 organisé par la Fédération des aînés fransaskois (FAF) à...
Le Rendez-vous fransaskois : cet événement qui était communautaire et familial... Il y a quelques jours, lors du Rendez-Vous fransaskois, il a été question du continuum en éducation. Cet...
Déficience au niveau de l’accueil et de l’intégration Immigration francophone : Le déficit s’accentue L’immigration continue d’être au centre des préoccupations des communautés de langue française au pays...
18 juin 2019 FAJEF 19852 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer