Guerre et enjeux militaires 13 novembre 2014 Souvenirs d’Afghanistan: Après la guerre, le combat intérieur
13 novembre Communautaire Les défis des organismes communautaires fransaskois SASKATOON - Le Rendez-vous fransaskois reste l’occasion idéale non seulement de se rassembler mais aussi de prendre le pouls de la...
La tournée bleu Terre: David Suzuki en Saskatchewan Les 26 et 27 octobre derniers, David Suzuki était à Saskatoon et à Regina dans le cadre de la tournée bleu Terre...
Les jeunes s’emparent du Parlement REGINA - Le Parlement franco-canadien du Nord et de l'Ouest (PFCNO) se déroule chaque année et rassemble les jeunes francophones des...
Bilan de la Semaine nationale de l’immigration francophone Dans le cadre de la Semaine nationale de l’immigration francophone, qui a eu lieu du 2 au 8 novembre dernier, les membres...
Des employés de Radio Canada refusent un prix du président Hubert Lacroix Des employés de Radio-Canada à Sherbrooke ont refusé mercredi de recevoir une récompense des mains du président...
18 juin 2019 FAJEF 19850 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer