Politique 6 novembre 2014 Allégations d'"inconduite": deux députés libéraux sont suspendus du caucus Harcèlement sur la colline parlementaire OTTAWA _ Le chef libéral Justin Trudeau a expulsé mercredi deux députés de son caucus en raison des allégations de "fautes personnelles" formulées à leur endroit par deux députées néo-démocrates qui n'auraient pas été mises au courant que leurs démarches allaient être rendues publiques.
6 novembre Francophonie Les médias francophones : Encore importants en Ontario Dans le cadre de l’assemblée générale annuelle de l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario (AFO)...
Vols internationaux d’Air Canada: Faut-il changer la Loi sur les langues officielles? La demande de compensation contre le délinquant le plus systémique du régime linguistique a été rejetée....
Monsieur le Commissaire, donnez un coup de fil à vos avocats avant qu’il ne soit trop tard Depuis des mois on s’émeut devant la boucherie que subit la SRC/CBC. On se scandalise devant la réduction des effectifs et des...
Le Premier ministre Brad Wall de passage à Gravelbourg GRAVELBOURG - Le mercredi 29 octobre 2014, le conseil municipal de Gravelbourg a été l’hôte du Premier ministre de la...
Immigration francophone: Message contradictoire du fédéral Pendant que les communautés francophones hors Québec s’apprêtaient à célébrer la Semaine nationale...
18 juin 2019 FAJEF 19841 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer