Communautaire 12 novembre 2014 Soirée de gala au Rendez-vous fransaskois SASKATOON - Au Rendez-vous fransaskois, la soirée du samedi 8 novembre 2014 a permis de rendre plusieurs hommages et de souligner diverses réussites.
12 novembre Éducation L'éducation au coeur des discussions au Rendez-vous fransaskois 2014 Pour une éducation fransaskoise de la pré-maternelle à l’université SASKATOON - Cette année, l’édition 2014 du Rendez-vous fransaskois se déroulait à Saskatoon sous le...
Postsecondaire : petit voyage dans le temps Au Rendez-vous fransaskois, le kiosque de l’Eau vive permettait de faire un petit voyage dans le temps en se promenant dans les albums de...
A vous la parole! Vox Pop au Rendez-vous fransaskois 2014 Propos recueillis par Alexandra DRAME auprès des participants au Rendez-vous fransaskois 2014. Que signifie pour vous le continuum...
Cérémonie d'adoubement tenu au Gala du Rendez-vous fransaskois Wilfrid Denis reçu au sein de la Compagnie des Cent-Associés francophones Le Dr Wilfrid Denis, de Saskatoon, a été reçu au sein de la Compagnie des Cent-Associés francophones. Il a...
Élections de l’Assemblée communautaire fransaskoise Le mercredi 5 novembre était jour d’élection pour l’Assemblée communautaire fransaskoises alors que les...
18 juin 2019 FAJEF 19841 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer