21 janvier Musique Annette Campagne et Shawn Jobin en nomination pour les prix Trille Or L'artiste fransaskois Shawn Jobin est en lice pour le prix Artiste solo ou groupe francophone hors-Ontario s’étant le plus...
CUBA à l'heure des rapprochements Le mois prochain marquera le 53e anniversaire du bloqueo, l'embargo économique, commercial et financier à l'égard de Cuba, décrété par les...
La CSFTNO se tourne vers la Cour suprême Turbulences dans les conseils scolaires francophones La Commission scolaire francophone des Territoires du Nord-Ouest (CSFTNO) et l'Association des parents ayant droit de Yellowknife (APADY) viennent...
Bellegarde : Club Jeunesse et curling BELLEGARDE - Lors de la rencontre du Club Jeunesse à Bellegarde, le 16 janvier dernier, 26 jeunes de 5 à 12 ans ont appris à...
24e Table des élus fransaskois Trois fois par an, les députés communautaires ainsi que les élus des conseils d’administration des groupes...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8497 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer