15 janvier Francophonie Francophonie des Amériques :que faire avec nos cousins du Sud ? Il y a 250 ans, on parlait français en Amérique, de Terre-Neuve à la Louisiane en passant par les grandes plaines. Puis sont...
Un petit chef-d’œuvre mémorable et précis Le premier album d’Indigo Joseph offre trois chansons en français En journalisme musical, il ne suffit pas de reconnaître l'audace, il faut aussi savoir en parler. C'est pourquoi il est nécessaire de...
Pourquoi je ne suis pas Charlie Je suis choquée. Je suis triste. Je suis pour la liberté d’expression. Mais je ne suis pourtant pas Charlie.
Selon le Commissaire aux Langues officielles les célébrations de 2017... La dualité linguistique : l’immigration change la donne OTTAWA - La dualité linguistique est toujours vivante au Canada mais selon le Commissaire aux Langues officielles, Graham Fraser,...
Deux enseignants québécois mieux outillés par un séjour en Saskatchewan Bilan d'un stage de de l'ACELF de six semaines par deux étudiants de l'Université de Sherbrooke à l'école fransaskoise...
10 septembre 2015 Émilie Dessureault-Paquette (EV) 22338 2015, Société, Bénévolat À la paroisse St-Jean-Baptiste, la foi mobilise les volontaires À Regina, les habitués de la messe se proposent souvent pour aider. Photo: Archives de l'Eau vive (2014) REGINA - Au sein de la seule église francophone de Regina, pas besoin de battre le rappel pour faire participer les paroissiens aux diverses activités organisées. Le bénévolat semble aller de paire avec les paroissiens assistant à la messe du dimanche. En tout cas, c’est le constat à la paroisse St-Jean-Baptiste. Chaque croyant semble engagé d’une façon ou d’une autre dans les activités. Rosalie Umuhoza, membre de la communauté, témoigne : « Il y a plusieurs formes de bénévolat. On peut par exemple servir à la cérémonie. De mon côté, je déplace les gens qui n’ont pas de voitures et qui veulent aller à l’église », explique-t-elle, comme si elle prenait conscience de son implication. « Personnellement je m’investis parce que je suis croyante. Aider les autres fait partie de mes convictions religieuses et de mes plaisirs. J’aide parce ce que j’ai déjà obtenu de l’aide de la paroisse. L’église m’a soutenue. Elle m’a équipée lorsque je n’avais rien », détaille Rosalie Umuhoza. Dans les activités à venir, l’église prévoit le traditionnel souper paroissial vers le début du mois d’octobre. Une date à officialiser, en attendant justement de confirmer la liste des bénévoles. « Il n’y a généralement pas de problème pour obtenir l’aide des uns et des autres. Les volontaires sont engagés au sein de la paroisse. Ils sont là au moins le dimanche pour aider, d’une quelconque façon. Il s’agit aussi bien d’anciens membres que de nouveaux arrivants. Ce souper constitue un rendez-vous important pour nous. C’est un moment de partage avec les plus démunis et pour se faire connaître des autres paroisses du diocèse », indique Yvette Ibenda, assistante paroissiale, sans cacher pour autant l’intérêt d’un tel événement pour renflouer les caisses. « En tant qu’immigrant, en tant que chrétien, et en tant qu’être humain, on a besoin de s’entraider », conclut Rosalie Umuhoza. Balises Dossier bénévolat Partager Imprimer