12 juillet CÉCS - Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan Le CÉCS, au service de l’économie fransaskoise depuis 76 ans Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) a tenu sa 76e assemblée générale annuelle le 24 juin à Moose Jaw. Les membres de...
CAFS : une année stable malgré les défis Entre des activités estivales passées et à venir, la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS) a tenu son assemblée générale...
Gala Trille Or : les artistes fransaskois sur le devant de la scène Pour son édition 2023, qui se tiendra au Centre national des arts à Ottawa du 7 au 9 septembre, le Gala Trille Or fait la part belle aux...
Une école sur deux roues sous le ciel d’Afrique Le voyage à moto d’un an continue pour l’aventurier français Morgan Bernoux qui traverse l’Afrique depuis le mois de janvier. Je...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 4882 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer