Écoles fransaskoises 27 novembre 2014 Rencontre sur l’avenir de l’école fransaskoise de Lloydminster : Des discussions presqu’uniquement en anglais
27 novembre Éducation Conseils scolaires francophones: La démocratie scolaire en crise? La participation électorale a chuté et des conseils scolaires en milieu minoritaire gouvernent sans l’intérêt du...
Un goût de développement local PRINCE-ALBERT - Les 21 et 22 novembre 2014, à l’hôtel Travelodge de Prince Albert, ont eu lieu des présentations...
Entretien avec la Directrice de la Fédération des aînés fransaskois « La situation des aînés, c’est un scandale de notre société! » À l’occasion du 5 à 7 organisé par la Fédération des aînés fransaskois (FAF) à...
Le Rendez-vous fransaskois : cet événement qui était communautaire et familial... Il y a quelques jours, lors du Rendez-Vous fransaskois, il a été question du continuum en éducation. Cet...
Déficience au niveau de l’accueil et de l’intégration Immigration francophone : Le déficit s’accentue L’immigration continue d’être au centre des préoccupations des communautés de langue française au pays...
1 février 2020 Lili Mercure (Acadie Nouvelle) 30191 Communication, Politique Médias sociaux : les politiciens face à la haine ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – Trou de cul, imbécile, french fuck, pomme pourrie et idiot, sont quelques exemples d’insultes reçues par les politiciens sur les réseaux sociaux. Si leurs décisions ne font pas toujours l’unanimité, nos élus méritent-ils une telle pluie d’injures? Certains croient que c’est le prix à payer. D’autres diront plutôt qu’il faut éviter de banaliser le phénomène des trolls. Les médias sociaux ont changé la relation entre les électeurs et les élus. Facebook et Twitter permettent aux politiciens de tâter le pouls des citoyens. Des outils incontournables afin de pouvoir prendre des décisions éclairées. Seul hic : les dérapages d’internautes s’invitent dans le quotidien des politiciens. «On se fait ramasser pas à peu près. On n’est pas épargné», souligne Isabelle Thériault, députée libérale provinciale de Caraquet. Mme Thériault avoue qu’elle doit parfois supprimer des messages haineux sur ses réseaux sociaux. La gestion de ceux-ci n’est pas de tout repos. «Ça prend énormément de temps à gérer. Je ne vais pas passer des heures là-dessus.» Même coup de sonde pour Megan Mitton, députée provinciale de la circonscription de Memramcook-Tantramar pour le Parti vert. «C’est important de surveiller ce qui se passe parce qu’il peut y avoir des trolls. Ma plus grosse préoccupation est que les fausses informations ne se propagent pas.» Les trolls sont des personnes qui publient des messages tendancieux sur les plateformes web dans le but de créer des polémiques. Il faut garder un œil sur ses pages, font remarquer les députés. Néanmoins, Mme Mitton évite de lire les commentaires haineux à son égard pour son bienêtre. Elle a d’ailleurs dû embaucher un gestionnaire des réseaux sociaux.. Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal Acadie Nouvelle Partager Imprimer