Politique 6 novembre 2014 Allégations d'"inconduite": deux députés libéraux sont suspendus du caucus Harcèlement sur la colline parlementaire OTTAWA _ Le chef libéral Justin Trudeau a expulsé mercredi deux députés de son caucus en raison des allégations de "fautes personnelles" formulées à leur endroit par deux députées néo-démocrates qui n'auraient pas été mises au courant que leurs démarches allaient être rendues publiques.
6 novembre Francophonie Les médias francophones : Encore importants en Ontario Dans le cadre de l’assemblée générale annuelle de l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario (AFO)...
Vols internationaux d’Air Canada: Faut-il changer la Loi sur les langues officielles? La demande de compensation contre le délinquant le plus systémique du régime linguistique a été rejetée....
Monsieur le Commissaire, donnez un coup de fil à vos avocats avant qu’il ne soit trop tard Depuis des mois on s’émeut devant la boucherie que subit la SRC/CBC. On se scandalise devant la réduction des effectifs et des...
Le Premier ministre Brad Wall de passage à Gravelbourg GRAVELBOURG - Le mercredi 29 octobre 2014, le conseil municipal de Gravelbourg a été l’hôte du Premier ministre de la...
Immigration francophone: Message contradictoire du fédéral Pendant que les communautés francophones hors Québec s’apprêtaient à célébrer la Semaine nationale...
10 septembre 2015 Sébastien Németh 21235 2015, Éditorial, Bénévolat Plus le temps Réflexion sur le bénévolat Nous n’avons plus le temps de rien. Plus le temps de mobiliser son énergie pour organiser notre évènement communautaire. Plus le temps de passer des heures en réunion pour faire germer les contours du projet. Plus le temps de rester devant l’ordinateur, à se gratter le cuir chevelu pour écrire la demande de subvention. Plus le temps de remplir les fichiers informatiques, calculette à la main, pour évaluer son budget. Plus le temps pour surveiller fébrilement le compte en banque et vérifier l’arrivée de l’argent. Si un évènement a lieu, nous n’avons plus le temps de battre le rappel pour que les autres viennent aider à préparer la salle. Plus le temps d’installer les tables, les chaises. Plus le temps d’aller au supermarché acheter la bouffe pour 250 personnes affamées. Plus le temps de s’installer en cuisine pour émincer, découper, éplucher, trancher, saupoudrer…bref…pour préparer quelque chose et nourrir les visiteurs. Plus le temps d’enfiler un tablier et d’empoigner une louche pour servir les spectateurs. Plus le temps de passer la soirée, l’oreille collée au combiné téléphonique pour réclamer des dons. Plus le temps d’enfiler un T-shirt fluo pour renseigner et guider les gens (avec le sourire). Plus le temps de rester jusqu’à 2 h du matin pour ranger, nettoyer, éponger et laver la salle. Plus le temps de s’engager dans un conseil d’administration. Plus le temps d’examiner des finances abstraites qui diminuent comme peau de chagrin. Plus le temps d’orienter des décisions stratégiques. Plus le temps de concilier bénévolat, travail, loisir et vie de famille. Et si le bénévolat, le soutien à son groupe, c’était tout ça à la fois? Et si la communauté c’était le travail et le loisir? Et si la communauté c’était une famille? La communauté c’est nous. Nous sommes la communauté. Lui consacrer du temps, c’est se donner du temps à soi. Partager Imprimer