6 novembre Communication La CPF se penche sur l’avenir des communications en Saskatchewan REGINA - Le monde des communications est en pleine mutation et la Coopérative des publications fransaskoises (CPF) a commencé un...
Lifted from the Crypt Une soirée d’Halloween électronique à Regina! REGINA - Plusieurs événements ont eu lieu partout dans la province pour la fête de l’Halloween. Le 31 octobre dernier,...
« Faire rire, c’est addictif » Rencontre avec Damien Robitaille Rencontre avec Damien Robitaille à l'occasion de son passage à Regina, Saskatchewan, le 29 octobre 2014.
L’École Valois à l’heure de l’Halloween PRINCE ALBERT - Sous les yeux du Père Valois, le fondateur de la seule école francophone de Prince Albert, et avec l’accord de...
Fête des moissons à Ponteix Le 17 octobre 2014, la communauté de Ponteix célébrait sa fête des moissons annuelle. C’était...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8468 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer