1 novembre Politique Le plan Nord du gouvernement du Québec nage dans l'imprécision Couillard défend son choix de parler uniquement en anglais à une conférence internationale REYKJAVIK, Islande - Le premier ministre Philippe Couillard a défendu son choix, samedi, de prendre la parole publiquement au cours d'un...
Papillon amiral Lancement d’un 4e album solo pour Annette Campagne Découvrir la Fransaskoise Annette Campagne est un vrai plaisir. On sent l’enthousiasme dans sa voix, une...
La province donne un appui de 100 000$ à sept projets d'infrastructures dans les communautés fransaskoises La province de la Saskatchewan a annoncé, aujourd’hui, un investissement de 100 000 $ afin d’appuyer de petits projets...
Les ministres de l'Ontario et du Québec unissent leurs voix Madeleine Meilleur et Jean-Marc Fournier se posent en sauveurs de Radio-Canada Les ministres délégués à la Francophonie du Québec et de l’Ontario ont annoncé leur intention de...
Mme Virginie Ann Lawlor à la barre de la radio communautaire de Gravelbourg Nouvelle coordonnatrice à CFRG 93,1 FM Depuis le 17 octobre 2014, la Radio communautaire francophone de Gravelbourg, CFRG 93,1 FM, a une nouvelle coordonnatrice, Mme Virginie Ann...
17 décembre 2018 Laurent Desrosiers 26941 Archives, 2018, Les timbrés Timbres créés par des prisonniers pour Noël Timbres créés par des prisonniers pour Noël The Catholic Register du 18 novembre nous annonce cinq nouveaux timbres de Noël pour la Cité du Vatican. « Est-ce une surprise ? » vous me demandez. Oui et non. À ce temps-ci de l’année, on s’attend à ce que pratiquement tous les États produisent des nouveaux timbres pour commémorer Noël. La surprise est que les modèles, c’est-à-dire les peintures qui les ont inspirées sont le produit du pinceau d’un prisonnier condamné à perpétuité dans un pénitencier de Milan, Italie. Mauro Olivieri, chef du Bureau philatélique du Vatican dit que « confier la création des nouveaux timbres de Noël à un prisonnier condamné à perpétuité est un signe d’espoir, de confiance et de foi dans son prochain, de comprendre son habilité d’admettre le mal qu’il a fait et de se réhabiliter. ». Marcello D’Agata est l’artiste. Le choix d’œuvres de cet artiste est une réaction à un appel du Pape François à la compassion envers les prisonniers et à faire plus d’efforts pour faire comprendre que la prison n’est pas la fin d’une vie criminelle, mais le commencement d’une vie nouvelle. Au cours de sa jeunesse, D’Agata ne pouvait pas résister à l’envie de dessiner dès qu’il se trouvait devant une feuille de papier. « Mais ce n’était que du barbouillage ! » affirme-t-il. Les choses ont changé en 2013, quand la direction du pénitencier a accordé à un groupe de prisonniers le privilège de poursuivre des cours d’art graphique. La peinture est maintenant plus qu’un hobby pour D’Agata. Elle permet à son imagination de s’échapper des murs de la prison. « L’amour de l’art », dit D’Agata, « a réveillé en moi la partie de moi-même que j’ignorais parce qu’elle était cachée par les ténèbres qui ont dérobé ma vie ». L’illustration ci-dessous nous montre D’Agata mettant les touches finales à une peinture de Marie regardant vers le ciel pendant que l’archange Gabriel approche avec un bouquet de lys blancs. Partager Imprimer