30 octobre RSFS - Réseau Santé en français de la Saskatchewan L’activité physique et la saine alimentation dans les groupes de jeux francophones. On entend de plus en plus parler de l’importance de mettre en valeur de saines habitudes de vie auprès des jeunes enfants. Mais...
Plus de 170 personnes à la fête de l’Halloween de Bellegarde Le 24 octobre dernier, à la salle communautaire de Bellegarde, l’Association communautaire francophone de Bellegarde (ACF) a...
Rencontre avec Ronald Jobin Dix ans au Lieu historique national de Batoche avec le plus bel emploi du monde Le 11 octobre, le Lieu historique national de Batoche a accueilli ses derniers visiteurs de la saison jusqu’à réouverture au...
La Journée des arts sur la Colline édition 2014 : un véritable succès Le mardi 21 octobre 2014, plus de 100 sympathisants du milieu des arts et de la culture de partout au Canada ont répondu à...
Lancement de trois livres consacrés à St-Denis En présence des auteurs, les gens de la région ont pu acheter et faire dédicacer les trois livres à l’honneur :...
17 décembre 2018 Laurent Desrosiers 26942 Archives, 2018, Les timbrés Timbres créés par des prisonniers pour Noël Timbres créés par des prisonniers pour Noël The Catholic Register du 18 novembre nous annonce cinq nouveaux timbres de Noël pour la Cité du Vatican. « Est-ce une surprise ? » vous me demandez. Oui et non. À ce temps-ci de l’année, on s’attend à ce que pratiquement tous les États produisent des nouveaux timbres pour commémorer Noël. La surprise est que les modèles, c’est-à-dire les peintures qui les ont inspirées sont le produit du pinceau d’un prisonnier condamné à perpétuité dans un pénitencier de Milan, Italie. Mauro Olivieri, chef du Bureau philatélique du Vatican dit que « confier la création des nouveaux timbres de Noël à un prisonnier condamné à perpétuité est un signe d’espoir, de confiance et de foi dans son prochain, de comprendre son habilité d’admettre le mal qu’il a fait et de se réhabiliter. ». Marcello D’Agata est l’artiste. Le choix d’œuvres de cet artiste est une réaction à un appel du Pape François à la compassion envers les prisonniers et à faire plus d’efforts pour faire comprendre que la prison n’est pas la fin d’une vie criminelle, mais le commencement d’une vie nouvelle. Au cours de sa jeunesse, D’Agata ne pouvait pas résister à l’envie de dessiner dès qu’il se trouvait devant une feuille de papier. « Mais ce n’était que du barbouillage ! » affirme-t-il. Les choses ont changé en 2013, quand la direction du pénitencier a accordé à un groupe de prisonniers le privilège de poursuivre des cours d’art graphique. La peinture est maintenant plus qu’un hobby pour D’Agata. Elle permet à son imagination de s’échapper des murs de la prison. « L’amour de l’art », dit D’Agata, « a réveillé en moi la partie de moi-même que j’ignorais parce qu’elle était cachée par les ténèbres qui ont dérobé ma vie ». L’illustration ci-dessous nous montre D’Agata mettant les touches finales à une peinture de Marie regardant vers le ciel pendant que l’archange Gabriel approche avec un bouquet de lys blancs. Partager Imprimer