Spectacle 23 octobre 2014 Demi-finale de Fransaschante à Saskatoon SASKATOON - La nouvelle saison des Cabarets du Relais de Saskatoon démarrait en beauté, le 10 octobre dernier, en mettant à l’honneur les quarante ans et plus pour la demi-finale nord du concours Fransaschante. On y récompensait l’audace des participants qui osaient, pour l’occasion, sortir de leur zone de confort.
23 octobre Saskatoon Plus de 20 000$ récolté Fédération des Francophones de Saskatoon : Un glorieux gala! Saskatoon - Le gala Cœur à Cœur de la Fédération des francophones de Saskatoon s’est tenu la fin de semaine...
La magnifique production de la compagnie Tout à trac était de passage à... Pinocchio vient de renaître SASKATOON - En invitant la compagnie de théâtre Tout à trac à présenter leur nouvelle création...
Soigner autrement avec l’art thérapie Faire face au deuil par la création d’images Nathalie Brissette-Chenery est orthopédagogue de profession. Depuis quelques mois, elle est également art thérapeute et...
Mgr de Laval lutte contre la faim, avec enthousiasme Certains auront du mal à y croire. « La faim existe au Canada »1, qui fait partie des 10 pays les plus riches de la...
François Kasongo élu représentant de l'Ouest au conseil d'administration Congrès annuel du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC) Plus de 85 personnes, présidences des collèges, directions générales, directions des études et de la formation...
19 janvier 2022 Dominique Liboiron 18071 Société, Voyages, Aventure et plein air Célébrer le Nouvel An au Japon Crédits : Dominique Liboiron Bonne année ! Pour le moment, 2022 s’accompagne du variant Omicron, ce qui nuit à notre capacité de voyager, mais je vous proposerai tout de même au cours de l’année une série d’aventures. Pour fêter le passage à une nouvelle année, je vous emmène découvrir un pays mystérieux et unique en son genre : le Japon. J’ai vécu trois ans au pays du Soleil levant afin d’enseigner l’anglais et le français à des étudiants de tous les âges. Là-bas, la nouvelle année démarre avec trois jours de congé férié, ce qui démontre l’importance de la fête dans cette culture. Ce long festival donne l’impression d’être dans un monde à part. Pour comprendre davantage le Japon, il faut regarder de vieillies photos de famille en noir et blanc et se mettre à la place de ses parents ou grands-parents au temps des Fêtes durant les années 1940 ou 1950. Comme les Fransaskois à l’époque, les Japonais vivent en effet dans un monde où les célébrations n’ont pas beaucoup évolué. Le jour de l’An, de nombreux Japonais aiment voyager en famille. Les trains à vapeur, destinés aux touristes au cours de l’année, sont très populaires. Crédits : Dominique Liboiron Le Japon, malgré sa haute technologie, est surtout un pays traditionnel. Durant les festivités de la nouvelle année, les gens s’habillent et se comportent formellement. Mais, au lieu de se rendre à l’église pour la messe obligatoire, les Japonais – les hommes en cravate et les femmes en robe ou en kimono – se rendent en famille pour prier dans des temples bouddhistes et/ou des sanctuaires shinto. Le shintoïsme est une religion japonaise dévouée à la nature, aux ancêtres et à de nombreux dieux. Des dizaines de millions de Japonais appartiennent à la fois au bouddhisme et au shintoïsme, et cela ne dérange personne. Voilà un contraste marqué avec nos coutumes où une personne ne pourrait jamais être à la fois catholique et protestante, par exemple. Rongé par la curiosité, je me suis permis une question indiscrète auprès de l’un de mes élèves : je lui ai demandé quel était l’objet de ses prières à l’occasion de la nouvelle année. Sans gêne aucune, Kozo, un monsieur âgé de 86 ans qui était la vedette de la classe en raison de sa joie de vivre, m’a expliqué que les Japonais priaient pour la santé de leurs proches, la prospérité et la réussite scolaire des enfants. En plus des cérémonies religieuses, les Japonais passent les trois jours fériés en famille, mais remplacent la tourtière ou la dinde par des fruits de mer, des légumes et des gâteaux au riz. Comme nous, ils aiment jouer aux cartes. Dans certaines familles, un membre récite quelques vers de poésie traditionnelle et ses proches essayent de deviner de quel poème il s’agit. Partager Imprimer