2 octobre Littérature Journées de la culture: La lecture mise à l’honneur à Saskatoon À l’initiative de la Saskatoon Literacy Coalition, plusieurs organismes de promotion de l’alphabétisation et de la...
Arts et culture 40 ans de culture fransaskoise célébrés à Regina lors de la journée nationale de la culture au Canada
Une soirée dansante africaine au bénéfice de la CAFS Le temps, avec son cortège d’angoisses, est mis entre parenthèse. C’est ce qui fait le charme des soirées...
Similitudes et différences des structures chez les Métis et les Fransaskois Rencontre Inter-intra: Favoriser la participation citoyenne Lors de la rencontre Inter-intra des 24 et 25 septembre, les directions des organismes fransaskois se sont penchées sur la participation...
La communauté et le gouvernement provincial soulignent 100 ans d'histoire Entre Culture et Histoire: une journée de célébrations à Ponteix En septembre 2012, Ponteix célébrait sa première Fête de la culture. C’était, aussi, l’Année...
L'institution fransaskoise s’affirme comme l’un des acteurs majeurs du... Programmation du Collège Mathieu 2014-15 Petit à petit, à force de travail et au fil du temps, le Collège Mathieu, sous la direction générale de Francis...
10 septembre 2015 Émilie Dessureault-Paquette (EV) 22273 2015, Société, Bénévolat À la paroisse St-Jean-Baptiste, la foi mobilise les volontaires À Regina, les habitués de la messe se proposent souvent pour aider. Photo: Archives de l'Eau vive (2014) REGINA - Au sein de la seule église francophone de Regina, pas besoin de battre le rappel pour faire participer les paroissiens aux diverses activités organisées. Le bénévolat semble aller de paire avec les paroissiens assistant à la messe du dimanche. En tout cas, c’est le constat à la paroisse St-Jean-Baptiste. Chaque croyant semble engagé d’une façon ou d’une autre dans les activités. Rosalie Umuhoza, membre de la communauté, témoigne : « Il y a plusieurs formes de bénévolat. On peut par exemple servir à la cérémonie. De mon côté, je déplace les gens qui n’ont pas de voitures et qui veulent aller à l’église », explique-t-elle, comme si elle prenait conscience de son implication. « Personnellement je m’investis parce que je suis croyante. Aider les autres fait partie de mes convictions religieuses et de mes plaisirs. J’aide parce ce que j’ai déjà obtenu de l’aide de la paroisse. L’église m’a soutenue. Elle m’a équipée lorsque je n’avais rien », détaille Rosalie Umuhoza. Dans les activités à venir, l’église prévoit le traditionnel souper paroissial vers le début du mois d’octobre. Une date à officialiser, en attendant justement de confirmer la liste des bénévoles. « Il n’y a généralement pas de problème pour obtenir l’aide des uns et des autres. Les volontaires sont engagés au sein de la paroisse. Ils sont là au moins le dimanche pour aider, d’une quelconque façon. Il s’agit aussi bien d’anciens membres que de nouveaux arrivants. Ce souper constitue un rendez-vous important pour nous. C’est un moment de partage avec les plus démunis et pour se faire connaître des autres paroisses du diocèse », indique Yvette Ibenda, assistante paroissiale, sans cacher pour autant l’intérêt d’un tel événement pour renflouer les caisses. « En tant qu’immigrant, en tant que chrétien, et en tant qu’être humain, on a besoin de s’entraider », conclut Rosalie Umuhoza. Balises Dossier bénévolat Partager Imprimer