Éducation 11 septembre 2014 Pourquoi choisir l’école de la minorité? La rentrée scolaire 2014 ne fera sans doute pas exception. Encore une fois, trop d’enfants de parents ayants droit ne seront pas inscrits à une école francophone. Une tendance qui met en péril l’avenir des communautés francophones en situation minoritaire.
11 septembre Faits divers Je vous présente M. Lucien Gagnon Ponteix est comme plusieurs villages fransaskois : tranquille, paisible, population vieillissante, etc. Un endroit où les traces de...
Nomination à la direction des écoles Beau Soleil et ÉSCM à Gravelbourg Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) annonce la nomination de Rosalie Lizée à titre de directrice de...
Le succès ne se dément pas Bilan des vignettes de la Société historique à Government House Cet été, tout comme l’été dernier, les visiteurs de la résidence historique du Lieutenant-gouverneur de...
Russie-Ukraine : guerre de sanctions ou guerre tout court? On parle beaucoup de la Russie et de l’Ukraine depuis quelque temps. L’est de l’Ukraine veut se rattacher à la Russie, Kiev ne...
De l’importance de lire Même si cet édito était bilingue, près de la moitié des adultes canadiens n’auraient pas le niveau de...
10 septembre 2015 Martin Kakra-Kouame (EV) 20849 Société, Bénévolat « Il faut encourager et valoriser l’engagement » Danielle Raymond, directrice générale sortante de l’APF Photo: Martin Kakra-Kouame (2015) SASKATOON - Danielle Raymond, directrice générale sortante de l’Association des parents fransakois (APF). Selon elle le passage du témoin au sein des familles constitue un élément crucial pour maintenir la flamme du volontariat de génération en génération. « Les parents représentent des modèles pour leurs enfants. Ce rôle est important pour s’assurer que nos jeunes comprennent l’importance du bénévolat pour leur communauté et eux-mêmes, » explique Danielle Raymond.