Éditorial 4 septembre 2014 De l’importance de lire Même si cet édito était bilingue, près de la moitié des adultes canadiens n’auraient pas le niveau de lecture leur permettant de bien le comprendre. Non pas que j’écrive de façon incompréhensible (quoi que ça m’arrive parfois), mais tout simplement parce qu’un texte de type journalistique ou d’opinion...
4 septembre Mon métier, ma passion Cette semaine, partons à la rencontre de Majid Benjelloun, consultant en immigration à Regina Le consultant en immigration est la personne que l’on va voir quand on a des questions, afin de déposer le meilleur dossier possible...
UNIS promet des émissions de qualité La programmation d'UNIS dévoilée À quelques jours de sa mise en ondes, la nouvelle chaîne francophone a dévoilé sa programmation au Centre des arts et...
le Sommet national des Aînés 2014, le Congrès mondial des Acadiens, les IVe... AGA de la Fédération des aînées et aînés francophones du Canada (FAAFC) Du 16 au 26 août 2014 des délégations des 10 provinces et des 2 territoires canadiens étaient présents pour...
Une Fransaskoise vient en aide à une famille de son pays d'origine, le Cameroun La scène se déroule à Yaoundé, une fourmilière de 2 500 000 habitants. C’est la capitale du Cameroun, un...
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10 septembre 2015 Émilie Dessureault-Paquette (EV) 22265 2015, Société, Bénévolat À la paroisse St-Jean-Baptiste, la foi mobilise les volontaires À Regina, les habitués de la messe se proposent souvent pour aider. Photo: Archives de l'Eau vive (2014) REGINA - Au sein de la seule église francophone de Regina, pas besoin de battre le rappel pour faire participer les paroissiens aux diverses activités organisées. Le bénévolat semble aller de paire avec les paroissiens assistant à la messe du dimanche. En tout cas, c’est le constat à la paroisse St-Jean-Baptiste. Chaque croyant semble engagé d’une façon ou d’une autre dans les activités. Rosalie Umuhoza, membre de la communauté, témoigne : « Il y a plusieurs formes de bénévolat. On peut par exemple servir à la cérémonie. De mon côté, je déplace les gens qui n’ont pas de voitures et qui veulent aller à l’église », explique-t-elle, comme si elle prenait conscience de son implication. « Personnellement je m’investis parce que je suis croyante. Aider les autres fait partie de mes convictions religieuses et de mes plaisirs. J’aide parce ce que j’ai déjà obtenu de l’aide de la paroisse. L’église m’a soutenue. Elle m’a équipée lorsque je n’avais rien », détaille Rosalie Umuhoza. Dans les activités à venir, l’église prévoit le traditionnel souper paroissial vers le début du mois d’octobre. Une date à officialiser, en attendant justement de confirmer la liste des bénévoles. « Il n’y a généralement pas de problème pour obtenir l’aide des uns et des autres. Les volontaires sont engagés au sein de la paroisse. Ils sont là au moins le dimanche pour aider, d’une quelconque façon. Il s’agit aussi bien d’anciens membres que de nouveaux arrivants. Ce souper constitue un rendez-vous important pour nous. C’est un moment de partage avec les plus démunis et pour se faire connaître des autres paroisses du diocèse », indique Yvette Ibenda, assistante paroissiale, sans cacher pour autant l’intérêt d’un tel événement pour renflouer les caisses. « En tant qu’immigrant, en tant que chrétien, et en tant qu’être humain, on a besoin de s’entraider », conclut Rosalie Umuhoza. Balises Dossier bénévolat Partager Imprimer