21 août Francophonie « Arrêtons d’en parler et allons danser » Table ronde sur la musique au CMA Les communautés expriment leur culture de plusieurs façons : à travers la nourriture, la langue, les arts…
Emmanuel Masson représente la Saskatchewan Forum national des jeunes ambassadeurs 2014 La 11e édition du Forum national des jeunes ambassadeurs (FNJA), a eu lieu à Sudbury du 7 au 12 août 2014, en partenariat avec...
« Pas de nouvelles, pas de sports » UNIS bientôt en ondes La nouvelle chaîne de télé UNIS comprendra dès l’automne un nombre de productions originales : 240 heures...
Bravo! Ponteix a 100 ans! Du 1er au 4 août, Ponteix fêtait son centenaire. Les inscriptions n’étaient pas prometteuses et subitement, à la...
Tentative de conciliation entre les enseignants et le gouvernement Après avoir été secouée par des remous internes ces derniers jours avec l’éviction de son...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 4929 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer