Close

Actualité de l'Eau vive

Petite enfance

Une table ronde sur la petite enfance

Un service essentiel mais comment le financer?

Les programmes de la prématernelle sont aussi essentiels à la réussite des élèves qu’à la vitalité des communautés francophones en contexte minoritaire. Le défi, c’est comment en assurer leur financement à court, à moyen et à long terme. Ce sont les constats et les questionnements qui sont ressortis...
Cercle communauté-université

Conjuguer action et réflexion

Cercle communauté-université

Jeudi 1er mai de 9 h à 16 h s’est tenu un cercle université-communauté sur le thème du développement communautaire fransaskois à...
Premier long-métrage de l'Ouest francophone

Début prometteur pour un jeune réalisateur franco-manitobain

Premier long-métrage de l'Ouest francophone

Héliosols n’est pas un film qui va révolutionner l’histoire du cinéma, mais il marque une étape importante...
Première453454455456458460461462Dernière
«juin 2024»
dim.lun.mar.mer.jeu.ven.sam.
2627282930311
2345678
9101112131415
16171819202122
23242526272829
30123456

Le Fil fransaskois

Rencontre avec Damien Robitaille
Luc Bengono 20650

Rencontre avec Damien Robitaille

« Faire rire, c’est addictif »

L’Eau vive : Comment fais-tu pour être aussi drôle?

Damien Robitaille : J’ai toujours aimé l’humour. Mon père était souvent appelé à être maître des cérémonies. Il chantait parfois en public. Je me suis beaucoup inspiré de lui. Une fois que tu fais rire le monde, c’est contagieux, c’est addictif. Mon père est décédé quand j’avais 14 ans. J’ai appris à jouer de la guitare en son honneur. C’est grâce à lui que je fais ça.

EV : Aujourd’hui, quand tu as visité des salles de classe à l’école Mgr de Laval, les élèves ont chanté certaines de tes chansons, notamment Porc-épic. Qu’est-ce que tu as ressenti à cet instant précis?

DR : Ça me fait toujours plaisir d’arriver loin de chez moi et de voir que les gens aiment mes chansons. Quand ce sont les enfants, ça m’allume énormément. Mon but, c’est de toucher tous les âges, surtout dans des endroits où les jeunes n’ont pas l’habitude d’entendre des chansons en français. Ça toujours été un de mes objectifs de dire qu’on peut faire les choses en français, et que ça peut être cool. Quand j’étais jeune, je ne connaissais pas beaucoup de chansons en français.

EV : Est-ce qu’un jour tu vas composer une chanson pour les Fransaskois?

DR : Toutes les chansons que j’ai faites sont pour les Fransaskois [rires]. Qui sait? Il faudrait que je vienne m’installer ici pour apprendre un peu plus sur les Fransaskois...

Partager

Imprimer
Conditions d'utilisationDéclaration de confidentialitéCopyright 2024 Coopérative des publications fransaskoises
Back To Top