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Actualité de l'Eau vive

Écoles fransaskoises

Soulignons la réussite!

Jeudi le 26 juin, plusieurs élèves du Pavillon secondaire des Quatre Vents (PSQV) de l’école Monseigneur de Laval ont été reconnus lors de l’édition 2014 du Gala Méritas.

Une fête bien réussie

Une fête bien réussie

Vendredi dernier, l’Association canadienne-française de Regina (ACFR) célébrait une fête bien connue d’une...
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Le Fil fransaskois

Emmanuel Masson 17762

Une journée de souvenirs à Gravelbourg

La communauté de Gravelbourg a pris le temps de célébrer le jour du Souvenir le matin du 11 novembre 2020. L’événement était organisé par la Section Gravelbourg 173 de la Légion royale canadienne, et animé par Tracy Lagacé.

Maria Lepage, présidente de l’Association communautaire fransaskoise de Gravelbourg (ACFG) a assisté à l’événement. Elle raconte que près de 50 personnes se sont rassemblées au cénotaphe du village peu avant 11 heures, lorsque la cérémonie a commencé. Daniel Sutherland a chanté l’hymne national pour débuter la cérémonie et la chanson God Save the Queen pour la conclure.

La communauté de Gravelbourg abrite deux vétérans de la Deuxième Guerre mondiale : Léo Bouvier et Ed Janis, âgés respectivement de 98 et 99 ans. Après avoir observé une minute de silence, Elphie Bouvier a fait la présentation de l’acte de souvenir.

L’événement, qui a duré une vingtaine de minutes, a aussi inclus une prière, la lecture du poème In Flanders Fields et la lecture du nom de tous les morts au combat des régions de Gravelbourg, Coderre et Bateman. Une galerie de couronnes de fleurs a été installée pour eux dans le salon du Club Lion de Gravelbourg.

L’événement s’est déroulé dans des conditions hivernales : beaucoup de neige était tombée et les participants ont dû braver une température ressentie de -18 °C. « On a gelé », commente Maria Lepage.

Toutefois, cette dernière est déçue que « pas un mot de français n’ait été prononcé durant la cérémonie », que ce soit dans la prière, dans le poème ou dans l’hymne national. « Je vais leur envoyer une lettre officielle à ce sujet », indique Maria Lepage. Après tout, les combattants francophones, eux aussi, ont droit à un hommage dans leur langue maternelle.

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