10 mai Chroniques Abolir la monarchie, c’est faire un nouveau pays CHRONIQUE – Le couronnement de Charles III, roi du Canada, est l’occasion de l’expression d’un fort sentiment...
Le genre n’est pas à débattre Une vague de lois et mesures visant les personnes transgenres prend actuellement de l’ampleur aux États-Unis. Les idées et mythes inventés...
En finir avec la désinformation D’un site web novateur permettant de communiquer en quelques mots l’essentiel d’une information, d’une idée ou d’un...
Marie-Thé Morin éblouissante dans Intrusions Du 14 au 16 avril, la Troupe du Jour (LTDJ) a accueilli au Studio 914 de Saskatoon la pièce Intrusions, une traduction de la pièce Another Home...
Cent cinquante ans d’histoire au fort Walsh Ce printemps, je vous propose une série d’articles dans le but de promouvoir le tourisme en Saskatchewan. Je m’y prends à...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 4896 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer