17 avril Théâtre Un saut dans le temps avec le Théâtre Oskana Mise en lecture du Bourgeois gentilhomme à Regina Mise en scène par Guy Michaud, la lecture publique a permis de jeter un regard nouveau sur cette comédie-ballet jouée pour...
Comme dans un film Bienfait et la vallée Qu’Appelle à Paris Compte-rendu de la visite de l'auteure fransaskoise Martine NOËL-MAW au Salon du livre de Paris.
Remise de bourses au 5 à 7 de l’Institut français C’est au cours du dernier 5 à 7 de l’année de l’Institut français qu’a eu lieu la remise de bourses...
Fête de l’équinoxe à St-Denis Le Club culturel de St-Denis avec l’appui de l’Association communautaire fransaskoise de la Trinité (ACFT) a organisé,...
Un nouveau groupe de parents, de nouvelles exigences auprès du CSF Il y a maintenant un nouveau groupe de parents qui fait pressions sur le Conseil scolaire fransaskois.
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 4860 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer