1 juin Spectacle Étienne Fletcher fait ses premiers pas sur la scène française C’est sur la place Gambetta de la ville occitane de Pézenas, en France, que près de 4 000 spectateurs ont rencontré le Fransaskois Étienne...
Pleins feux sur les communautés et les entreprises fransaskoises La campagne numérique bilingue Venez nous découvrir a été lancée par le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS), le 4 avril,...
Prince Albert : le projet Rivier tombe à l’eau C’est avec surprise et déception que la communauté francophone de Prince Albert a appris fin avril que la Nation métisse de la Saskatchewan...
Une créatrice au cœur sur la main, un chandail après l’autre La Fransaskoise Rea Harbus, propriétaire de l’entreprise de vêtements pour femmes Amaranth Designs, basée à Regina, fait partie de ces...
Un nouveau et départ pour la David Baudemont L’auteur fransaskois David Baudemont a publié fin mars Départs aux Éditions de la nouvelle plume (ÉNP), redonnant ainsi ses lettres à un...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8497 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer