20 mai Politique Extrême droite : tout va bien La réélection d’Emmanuel Macron le 24 avril dernier a été accueillie avec soulagement par plusieurs, comme son élection en 2017. Si Marine...
Une nouvelle production communautaire pour la Troupe du Jour La Troupe du Jour (LTDJ) a présenté la pièce Enfant insignifiant ! de Michel Tremblay au studio 914 de Saskatoon du 27 avril au 1er mai. En...
Pour une communauté fransaskoise arc-en-ciel Avec le printemps qui s’installe et l’approche du Mois de la Fierté en juin, les paysages des villes canadiennes s’apprêtent à...
Joe Poirier: Une passion pour la fransaskoisie récompensée Joseph, dit Joe, Poirier a passé sa vie à défendre la cause fransaskoise. À 78 ans, il est récompensé pour ce dévouement en recevant, en avril...
Le miracle du kiwi et violoniste Le Fransaskois Pierre Rivard, originaire de Saskatoon et établi à Toronto, transforme les mots en musique. Et ce, pour le plus grand plaisir des...
18 juin 2019 FAJEF 19893 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer