Portraits et entretiens 4 juillet 2022 Alpagas, paons, ânes et chevaux : un havre de paix à deux pas de Regina
3 juillet 2ELGBTQ Les aînés LGBT toujours stigmatisés Au Canada, les différentes orientations sexuelles et identités de genre sont reconnues et protégées par la loi. Un héritage qui permet aux jeunes...
Café le Réseau : les élèves aux manettes derrière le comptoir Depuis le 8 juin, le Café le Réseau a ouvert ses portes au sein même de l’école Monseigneur de Laval. Se voulant un lieu de rencontre,...
La diversité et l’égalité célébrées à Regina La joie de vivre était palpable dans le centre-ville de Regina à l’occasion du Défilé de la fierté organisé le 11 juin. Plusieurs milliers...
Les provinces et territoires demandent plus de ressources et de coopération au fédéral FRANCOPRESSE — C’est à Regina en Saskatchewan que s’est tenu le Conseil des ministres de la francophonie canadienne les 22 et...
Wilfred LeBouthillier à la barre du grand spectacle Tout pour la musique PUBLIREPORTAGE – L’auteur-compositeur-interprète acadien Wilfred LeBouthillier sera l’animateur de la grande fête musicale...
18 juin 2019 FAJEF 19883 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer