16 septembre ACFR - Association communautaire fransaskoise de Regina Un accueil chaleureux pour la nouvelle directrice adjointe de l’ACFR Le 29 août, les associations francophones du Carrefour Horizons à Regina se sont retrouvées pour souhaiter une chaleureuse bienvenue à la nouvelle...
La reine Elizabeth II n’est plus FRANCOPRESSE – La reine Elizabeth II s’est éteinte aujourd’hui dans son château de Balmoral, en Écosse. En rappel, Francopresse...
Peggy, la pouliche de Joe Fafard, en exposition permanente à Moose Jaw Depuis 2018, l’équipe et le conseil d’administration de la Moose Jaw Museum & Art Gallery mènent une campagne de récolte de fonds...
Une délégation fransaskoise fait entendre sa voix à Granby La Saskatchewan s’est retrouvée sur le devant de la scène au 54e Festival international de la chanson de Granby, qui s’est tenu du 4...
Une expérience poétique pour les jeunes de l’AJF C’est dans le cadre de son projet Expl’Art que l’Association jeunesse fransaskoise (AJF) a organisé une sortie en canoë sur la...
18 juin 2019 FAJEF 19874 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer