8 novembre Politique Les cibles d’immigration revues à la hausse, sauf en francophonie minoritaire FRANCOPRESSE – Dès l’an prochain, le ministère de l’Immigration veut augmenter le seuil de résidents permanents à...
Loi sur les langues officielles : la ministre est « inquiète » La ministre des Langues officielles Ginette Petitpas Taylor souhaite voir le projet de loi C-13 adopté avant Noël. Inquiète du silence et des...
Le jazz manouche de Christine Tassan aux quatre coins de la Saskatchewan Rencontre avec la musicienne Christine Tassant dont le dernier album, Voyage intérieur, a été sélectionné pour deux prix Juno en 2022.
Un automne aux couleurs de l’arc-en-ciel Le programme En toute fierté ! de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), destiné à promouvoir le bien-être de la communauté...
FFS : retour sur une année dévouée à la communauté Le 13 octobre en soirée, la Fédération des francophones de Saskatoon (FFS) a invité ses membres à se rassembler au Relais et sur Zoom pour sa 42e...
18 juin 2019 FAJEF 19861 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer