27 octobre Jeunesse Les jeunes soufflent leurs 50 bougies C’est avec enthousiasme et fierté que l’Association jeunesse fransaskoise (AJF) a célébré son 50e anniversaire du 21 au 23 octobre. Au...
Une tournée saskatchewanaise pour Shawn Jobin Artiste montant de la scène rap francophone au Canada et à l’international, Shawn Jobin est l’une des personnalités francophones les...
Étienne Fletcher élu artiste francophone de l’année Fin septembre, Étienne Fletcher a remporté le prix de l’Artiste francophone de l’année aux Western Canadian Music Awards de 2022....
Des bibliothèques communautaires à Regina Dans le cadre de la rentrée des classes, l’Association communautaire fransaskoise de Regina (ACFR), en partenariat avec le Conseil des...
CAFS : une nouvelle direction en quête de confiance Depuis le 3 octobre, Melchior Niyonkuru a pris la barre de la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS). Le nouveau...
18 juin 2019 FAJEF 19861 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer