1 septembre Francophonie Des quotas en immigration pour contrer la baisse du français en Saskatchewan ? À l’heure où la francophonie recule à travers le pays selon les dernières données de Statistique Canada, la fransaskoisie s’interroge...
Pas d’unanimité sur le poids démographique des minorités francophones FRANCOPRESSE – Sans en faire officiellement l’annonce, Statistique Canada a changé sa manière de présenter les données du recensement...
Les artistes fransaskois répertoriés dans un bottin Le 6 juin, le photographe et informaticien Daniel Paquet a lancé SaskArtistes.ca, un nouveau bottin en ligne qui facilite la recherche...
Le gardiennage de maison : une vie atypique à travers le monde Bichonner, jardiner, flatter, entretenir, nettoyer ou désherber, à première vue cela ne ressemble en rien à des vacances. Et pourtant, le...
« Avec un peu de cœur, on peut déplacer des montagnes » Hugo Lambert, 24 ans, a entrepris le 19 juillet une traversée du Canada à vélo de Vancouver à Montréal. Sur près de 5 000 km, il pédale pour...
18 juin 2019 FAJEF 19874 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer