22 septembre L'Apostrophe Transition énergétique : vers la décentralisation Les prochaines années resteront dans l’Histoire comme l’époque de la transition énergétique pour notre civilisation. Cette transition,...
Un projet d’envergure pour arroser les terres sèches de la Saskatchewan FRANCOPRESSE – Au Sud de Saskatoon, le lac Diefenbaker joue depuis plusieurs décennies le rôle de réservoir pour les résidents et les...
Pédaler pour la bonne cause Le 29 août dernier, le Réginois Don Durrel Bizoza a terminé ce qu’il qualifie être « son plus gros défi de...
La passion de l’enseignement, d’un continent à l’autre D’aussi loin qu’elle se souvienne, Kymber Zahar a toujours voulu enseigner. Diplômée en 2019, la francophile de Saskatoon est partie...
Une rentrée mémorable pour les Fransaskois Le Centre des sciences de la Saskatchewan a vibré de francophonie le 10 septembre en soirée avec près de 300 personnes qui ont participé à la...
18 juin 2019 FAJEF 19861 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer