21 décembre Littérature La littérature fransaskoise à la rencontre du public québécois Cette année encore, les Éditions de la nouvelle plume (ÉNP) n’ont pas manqué le rendez-vous du Salon du livre de Montréal. Du 23 au 27...
Opération séduction à Paris et Rabat Fin novembre, une délégation constituée de sept personnes de la Saskatchewan a pris part à Destination Canada Forum Mobilité 2022, un événement du...
Décès de l’écrivain Christian Bobin : réactions du Québec à la Saskatchewan Dans Une bibliothèque de nuages, l’écrivain français Christian Bobin, décédé le 24 novembre, écrivait : « La mort est un...
Roger Lepage, un champion du don Entretien avec Roger Lepage. Le chef de file fransaskois revient sur son long engagement et l’avenir de la communauté.
Un Noël très traditionnel à la Maison du gouverneur Les traditions de Noël sont multiples : culturelles, religieuses, ou encore familiales. À la Maison du gouverneur de la Saskatchewan, à...
18 juin 2019 FAJEF 19852 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer