Portraits et entretiens 9 février 2023 Jean-Louis Légaré, pacifiste fransaskois au cœur de l’Histoire
8 février Coup d'oeil sur le monde De l’Iran à la Saskatchewan Deux jeunes Iraniens fraîchement arrivés en Saskatchewan nous parlent des troubles qui secouent leur pays.
La science participative, ou comment tous contribuer à la science Qui n’a jamais rêvé de contribuer à l’avancée de la science, tout comme Charles Darwin en son temps, ce naturaliste britannique du 19e...
Un diamant rouge pour une agente immobilière fransaskoise À 28 ans seulement, Tammy Lépine, une Fransaskoise originaire de Zenon Park, a reçu le prix Diamant rouge et s’est hissée dans le Top 35 des...
Un décor hivernal pour le nouveau titre de Marie-Véronique Bourque Le 2 décembre dernier, Marie-Véronique Bourque, la célèbre flûtiste jazzy de la Saskatchewan, a sorti son nouveau titre intitulé The Shovel...
Saperlipopette, Suzette ! : le dernier ajout des ÉNP à la littérature jeunesse francophone des Prairies Saperlipopette, Suzette ! est le deuxième album jeunesse de l’auteure franco-albertaine Danielle Lavoie. Adressé aux lecteurs de quatre...
18 juin 2019 FAJEF 19841 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer