27 janvier Portraits et entretiens Une pionnière de l’enseignement des arts industriels récompensée La Fransaskoise Julie Lemire s’est vu remettre, le 4 novembre 2022, le Saskatchewan Youth Apprenticeship (SYA) Champion Award, un prix qui...
Une collection prometteuse à l’ACFR Costumes, chapeaux, foulards, chaussures… La garde-robe de l’Association communautaire fransaskoise de Regina (ACFR), située dans...
Fin de l’histoire pour la Bouquinerie Gravel Fondée en 1981 par l’Association communautaire fransaskoise de Gravelbourg (ACFG), l’unique librairie francophone de la Saskatchewan a...
Tricoter une communauté, une maille à la fois Afin de faciliter l’inclusion des nouveaux arrivants et de réchauffer les cœurs, le Service d’accueil et d’inclusion francophone...
Francis Kasongo : œuvrer dans la continuité Depuis le mois de décembre 2022, la Fondation fransaskoise a un nouveau président en la personne de Francis Kasongo, également directeur général...
18 juin 2019 FAJEF 19841 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer