6 mars Société Pleins feux sur la recherche locale et communautaire Pour l’avancement et la pluralité des savoirs communautaires en Saskatchewan, tel était le thème des activités organisées par la branche...
Région de Claydon : reconstruire le passé La campagne saskatchewanaise regorge de bâtiments abandonnés. Des écoles aux églises en passant par d'innombrables propriétés, toutes sont...
Belles prises à Moose Jaw Un petit village de pêche s’est implanté au beau milieu du lac Buffalo Pound le 18 février à l’occasion du tournoi annuel de pêche sur...
L’histoire des Noirs, bien plus qu’un mois Bien que le Mois de l’histoire des Noirs soit achevé, l’hommage à l’histoire des peuples africains et ses acteurs se poursuivra...
Alexis Normand, visage de la francophonie canadienne L’année 2023 est un beau cru pour l’auteure-compositrice-interprète et cinéaste fransaskoise Alexis Normand. Désignée comme...
18 juin 2019 FAJEF 19822 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer