23 mars Postsecondaire Trois minutes pour convaincre Le 13 mars, l'Association francophone pour le savoir (ACFAS) a convié en ligne le public à la finale fransaskoise du concours Ma thèse en 180...
Les RVF : un évènement ancré dans le paysage francophone canadien PUBLIREPORTAGE – Du 1er au 31 mars 2023, les Rendez-vous de la Francophonie (RVF) célèbrent leur 25e anniversaire....
Choisir la Saskatchewan pour un meilleur avenir C’est la promesse que les différentes parties prenantes ont avancé à plusieurs reprises lors du Sommet provincial en établissement organisé...
Le Bistro ouvre ses portes aux femmes Le 8 mars, une trentaine de femmes se sont réunies au Bistro du Carrefour des Plaines de l’Association communautaire fransaskoise de Regina...
Réseau Santé : Frédérique Baudemont quitte la barre Directrice générale du Réseau Santé en français de la Saskatchewan (RSFS) depuis septembre 2017, Frédérique Baudemont quittera ses fonctions le 31...
18 juin 2019 FAJEF 19822 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer