23 avril Le 7e art La famille Normand, une histoire de transmission Assez French est un documentaire réalisé par l’artiste fransaskoise Alexis Normand. Si l’artiste charismatique est devenue au fil du...
Des Fransaskois étudieront les relations publiques à La Cité à Toronto Après une entente signée le 5 avril, des étudiants du Collège Mathieu auront accès dès septembre prochain au programme de Relations publiques...
Message du directeur général du CÉF. Être parent, c’est accepter de travailler dans l’ombre des centaines, voire des milliers d’heures afin de veiller à la réussite...
La Raquette à Claquettes de retour sur scène Le groupe de musique La Raquette à Claquettes a fait son grand retour au Bistro du Carrefour des Plaines de Regina le 31 mars. Après s’être...
Éditions de la nouvelle plume : fin de chapitre pour Martine Noël-Maw Après quatorze mois, Martine Noël-Maw a quitté la direction générale des Éditions de la nouvelle plume (ÉNP) le 31 mars. Dans un entretien avec...
18 juin 2019 FAJEF 19822 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer