1 juin Francophonie Le discours sur le déclin du français nourrit l’insécurité linguistique Affirmer continuellement que le français est en déclin contribuerait au sentiment d’insécurité linguistique. Selon des sociolinguistes, le...
Dernière scène pour le festival Terre Ferme Après quinze ans de bonheur partagé avec le public sur les terres de la ferme familiale, la fratrie Campagne offrira une ultime édition de son...
Explorer l’Anthropocène en français au Musée royal de la Saskatchewan Le 22 avril 2023, Jour de la Terre, le Musée royal de la Saskatchewan a révélé sa nouvelle exposition, Home : Life in the Anthropocene....
Réussir son immigration : savoir saisir les occasions La Communauté francophone accueillante (CFA) de la Saskatchewan a offert un atelier en ligne le 17 mai afin de donner des pistes pour réussir son...
Festival CINERGIE : un rendez-vous toujours aussi rassembleur De retour pour une 18e édition, le Festival international du film francophone de Saskatoon CINERGIE s’est tenu du 9 au 14 mai pour le plus...
18 juin 2019 FAJEF 19805 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer