11 mai Regina Les députés communautaires prennent le pouls des régions C’est à Regina le 6 mai que s’est déroulée la 137e rencontre des députés communautaires. À l’ordre du jour de cette journée...
Échanges entre les francophonies canadiennes au menu de Mobilisation franco 2023 FRANCOPRESSE – Une soixantaine d’organismes du Québec et de la francophonie canadienne sont réunis à Québec pour la seconde édition de...
Le genre n’est pas à débattre Une vague de lois et mesures visant les personnes transgenres prend actuellement de l’ampleur aux États-Unis. Les idées et mythes inventés...
En finir avec la désinformation D’un site web novateur permettant de communiquer en quelques mots l’essentiel d’une information, d’une idée ou d’un...
Marie-Thé Morin éblouissante dans Intrusions Du 14 au 16 avril, la Troupe du Jour (LTDJ) a accueilli au Studio 914 de Saskatoon la pièce Intrusions, une traduction de la pièce Another Home...
18 juin 2019 FAJEF 19805 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer