20 juin Francophonie Vous êtes les sentinelles de l’information locale Vous trouvez-vous dans un désert médiatique ou dans une zone de pauvreté de nouvelles ? Possiblement, surtout si vous vivez à l’extérieur...
Pour des cultures francophones des Amériques épanouies La Louisiane a accueilli du 22 au 27 mai 50 francophones d’une dizaine de pays du continent pour l’Université d’été...
Un nouveau codirecteur aux Éditions de la nouvelle plume Depuis le 1er juin, Jean-Pierre Picard, également employé par la Coopérative des publications fransaskoises et anciennement dans d’autres...
Le perlage, entre patience et joie d’apprendre La Communauté francophone accueillante (CFA) de Gravelbourg et Moose Jaw a rassemblé le 26 mai à l’école Ducharme vingt-trois Fransaskois à...
Loin des mythes, la véritable histoire de la communauté chinoise de Moose Jaw Le court métrage Le tunnel et la fortune, réalisé par Weiye Su et disponible depuis peu sur le site de l’Office national du film (ONF),...
18 juin 2019 FAJEF 19796 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer