12 juillet CÉCS - Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan Le CÉCS, au service de l’économie fransaskoise depuis 76 ans Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) a tenu sa 76e assemblée générale annuelle le 24 juin à Moose Jaw. Les membres de...
CAFS : une année stable malgré les défis Entre des activités estivales passées et à venir, la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS) a tenu son assemblée générale...
Gala Trille Or : les artistes fransaskois sur le devant de la scène Pour son édition 2023, qui se tiendra au Centre national des arts à Ottawa du 7 au 9 septembre, le Gala Trille Or fait la part belle aux...
Une école sur deux roues sous le ciel d’Afrique Le voyage à moto d’un an continue pour l’aventurier français Morgan Bernoux qui traverse l’Afrique depuis le mois de janvier. Je...
18 juin 2019 FAJEF 19796 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer