Littérature 1 juillet 2023 Les urbains de David Baudemont : la beauté qui transcende le malaise de la ville
29 juin Jeunesse La jeunesse au cœur de la création littéraire Les Éditions de la nouvelle plume (ÉNP) ont convié la communauté au lancement officiel du roman jeunesse Laïka, où es-tu ? le 15 juin dans le...
Deux ambassadeurs saskatchewanais choisis pour promouvoir le français et le bilinguisme Le 7 juin, Le français pour l’avenir a présenté sa liste d’ambassadeurs qui assisteront au Forum national des jeunes ambassadeurs 2023...
Économusées : une formule gagnante pour le tourisme local Le 9 juin, s’est tenue au 245 Valley Road à Saskatoon l’inauguration du troisième Économusée de la province. Un événement mettant...
Un cadeau bien spécial pour la fête des Pères La Communauté francophone accueillante (CFA) de Moose Jaw et Gravelbourg a proposé aux enfants de préparer un cadeau bien spécial pour la fête des...
Un CA rigoureux derrière le succès d’Entr’Elles Quinze personnes, dont des membres votants et des observateurs, ont assisté à l’assemblée générale annuelle d’Entr’Elles...
18 juin 2019 FAJEF 19796 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer