10 juin Santé Santé : les services en français bel et bien disponibles en Saskatchewan Les 26 et 27 mai, le Réseau Santé en français de la Saskatchewan (RSFS) et Vitalité 55+ ont tenu leur annuel Forum Santé Vitalité. Étalée sur deux...
Festival fransaskois : une édition 2023 au féminin Du 7 au 9 juillet, le Conseil culturel fransaskois (CCF) convie francophones et francophiles à la nouvelle édition de son fameux Festival...
Abolir la monarchie, c’est faire un nouveau pays Le couronnement de Charles III, roi du Canada, est l’occasion de l’expression d’un fort sentiment antimonarchiste. Mais, en...
Entendre l’écho du passé Notre série sur le tourisme se termine par la découverte d’un endroit peu connu, mais qui renferme un bon nombre de mystères : le site...
La reconstitution d’un récit familial et historique Voici un texte qui résume les démarches, recherches historiques et généalogiques, ainsi que la visite en septembre 2022 en Saskatchewan de Sarah...
18 juin 2019 FAJEF 19796 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer