12 décembre Nécrologie Eveline Hamon, l'auteure de La Fransasque, est décédée La Fransaskoise Eveline Hamon est décédée le 5 décembre 2022 à Regina à l’âge de 64 ans. Résidente de Gravelbourg, elle est notamment...
Maria Lepage, l’engagement au féminin À 75 ans, Maria Lepage a plus d’une corde à son arc. Tour à tour engagée pour la Fédération provinciale des femmes fransaskoises,...
Cible presque atteinte en immigration francophone FRANCOPRESSE — Le Canada aurait presque atteint sa cible de 4,4 % en immigration francophone à l’extérieur du Québec, selon le...
Le légendaire Jazzlab Orchestra en concert à Saskatoon Fondé il y a 20 ans par le contrebassiste Alain Bédard, le groupe montréalais Jazzlab Ochestra a offert le 19 novembre un concert spectaculaire au...
Venir à bout de l’itinérance : possible, mais complexe Combien y a-t-il de sans-abri au Canada ? Difficile à dire puisqu’il n’y a aucun chiffre précis et récent. Mais selon des experts, la...
18 juin 2019 FAJEF 19852 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer